Installation vidéo, triptyque, 7min, boucle,
format 16:9, 2017-2021
Ce travail vidéo-documentaire porte sur l’évocation, dans notre société occidentale, de la notion du paradis et de l’oasis/du jardin d’Eden. À partir de témoignages recueillis lors d’un micro-trottoir, les habitants de Düsseldorf ont été interviewés sur leur perception du paradis (en allemand ce mot a une double signification : oasis terrestre ou paradis spirituel).
À travers trois vidéos thématiques, ce reportage offre des images issues du monde du « discount ». Des slogans, au sens hermétique, s’y entrecroisent avec des sous-titres issus de propos spontanés de « monsieur et madame tout le monde ». Pour évoquer le paradis-oasis, l’ensemble s’insère dans des images de lieux fantasmés et stéréotypés : île paradisiaque, nature opulente et vie céleste parmi les nuages.
Les passants nous livrent leurs questionnements sur le monde du travail, de l’argent et de la politique. Leur révolte arrive au point extrême d’affirmer « Personne ne devrait plus travailler ». Ainsi, derrière les images séduisantes des messages publicitaires, c’est une remise en question du système sociétal et de son statut qui est là en marche.
Ces témoignages je les ai vécus comme un appel impérieux à la coexistence, à l’entraide et à la coopération si peu prégnantes dans la société de consommation actuelle. « La paix, la liberté. ».
Vues de l’exposition Continuum Emergent,Galerie Namima, 2018
et de l’exposition 5° Triennale Jeune Creation, Centre d’Art Casino, Luxembourg, 2021
Installation vidéo, triptyque, 7min, boucle,
format 16:9, 2017-2021
Ce travail vidéo-documentaire porte sur l’évocation, dans notre société occidentale, de la notion du paradis et de l’oasis/du jardin d’Eden. À partir de témoignages recueillis lors d’un micro-trottoir, les habitants de Düsseldorf ont été interviewés sur leur perception du paradis (en allemand ce mot a une double signification : oasis terrestre ou paradis spirituel).
À travers trois vidéos thématiques, ce reportage offre des images issues du monde du « discount ». Des slogans, au sens hermétique, s’y entrecroisent avec des sous-titres issus de propos spontanés de « monsieur et madame tout le monde ». Pour évoquer le paradis-oasis, l’ensemble s’insère dans des images de lieux fantasmés et stéréotypés : île paradisiaque, nature opulente et vie céleste parmi les nuages.
Les passants nous livrent leurs questionnements sur le monde du travail, de l’argent et de la politique. Leur révolte arrive au point extrême d’affirmer « Personne ne devrait plus travailler ». Ainsi, derrière les images séduisantes des messages publicitaires, c’est une remise en question du système sociétal et de son statut qui est là en marche.
Ces témoignages je les ai vécus comme un appel impérieux à la coexistence, à l’entraide et à la coopération si peu prégnantes dans la société de consommation actuelle. « La paix, la liberté. ».
Vues de l’exposition Continuum Emergent,Galerie Namima, 2018
et de l’exposition 5° Triennale Jeune Creation, Centre d’Art Casino, Luxembourg, 2021
Tous droits réservés © Marina Uribe
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